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| Histoire d'une fin annoncée |  Mar 16 Mar - 17:56 par JustMax | Beaucoup s'en doutent depuis un bon moment.
D'autres se le cachaient pour y croire encore.
On a tenté plusieurs manoeuvre de réanimation?
Massage cardiaque, insufflation, et autre tripotage peu courtois.
Rien n'y a fait.
On s'est fait beaucoup de mal ces derniers temps.
Beaucoup de mal a s'acharner.
Le concept de Munuroe avait un potentiel, mais nous, avions nous vraiment la compétence …
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| La chronique du Dr CPJ - C'estPasJust, chronique informative et politiquement incorrect. | | Mar 8 Déc - 21:18 par Dr CPJ | Je repensais à ce que quelqu'un nous a dit en claquant la porte. D'ailleurs, un écho s'est glissé par la fenêtre après son départ en haussant les épaules et en dandinant du cul : Nous sommes fragiles et vacillants comme la flamme d'une bougie, trop instables pour qu'on y consacre son énergie créatrice.
C'est difficile de répondre à un écho. ça vient de loin, c'est aussi franc qu'un …
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 Sujet: Haut Risque ? Mar 22 Juil - 20:47 |
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Piège, c’était un piège, pourquoi il a fallu encore une fois que cette curiosité mal placée fasse son apparition ! C’était bien vu, j’y songe encore une fois, et il est évident qu’il aurait été difficile de s’apercevoir de la bouche béante de l’illusion ! Ce qui me taraude, c’est bien la façon utilisée, comment a-t-il pu savoir autant de choses sur mon compte, je me remémore les faits, et peut-être que je découvrirai d’où vient la faille, celui qui m’a vendue me connaît bien trop pour que ce soi un étranger, une connaissance à mon défunt Père ? Probable, voyons …
Le papier, m’est parvenu bizarrement, planté avec une petite dague dans la veille porte de bois de la grange abandonnée ou j’ai décidé d’établir mes quartiers. Je me suis absentée que quelques minutes, un drosera m’attendait quelque mètre plus loin … je n’ai pas du m’absenter plus de dix minutes … Rien, je n’ai rien vu venir, rien entendu d’étrange que ce sois par l’air ou par la Terre ! Un message griffonné à la va vite qui me conviait à venir proche de la première auberge de Lonedonne, juste dans la minuscule ruelle qui se termine en impasse, bête, je suis trop bête ! Les écrits de mon Père en étaient la raison ! Forcément j’ai sauté sur l’occasion, cela fait tellement de temps que je cours après ces inaccoutumées chimères.
Juste avant que je ne quitte ma petite demeure, je me suis armée de cette même dague celle qui fut témoin du messager sans visage, j’ai emmené avec moi, le prototype de cette plante empoisonnée, j’ai mis pas mal de temps à la mettre au point, il n’est pas évident de mélanger leurs génétiques et qu’il en ressorte quelque choses de solvable, je ne savais pas qu’elle parviendrait à me sortir d’une situation si belliqueuse.
Le long de la route, j’étais poursuivie par ce mauvais pressentiments, mais trop occupée par ce que j’allais découvrir je me suis forcée à chasser cette zone d’ombre qui ne faisait que s’amplifier à mesure que je me sentais proche du lieu de rendez-vous. J’aurais du écouter ce que me susurrait ce vent, c’est inéluctable.
La nuit est tombée bien vite ce qui n’a rien fait pour arranger les choses, prête à recevoir le mystérieux interlocuteur, je me suis adossée contre le mur, à son contact, un frisson à voyager le long de mon corps, glacé, les pierres me semblaient si froide alors que le temps n’était pas désagréable. Par instinct, j’ai repris ma position offensive mon dos à ce moment là, ne voulait plus toucher le mur.
C’est à cet instant précis que ma vue s’est brouillée, au même moment, qu’une ombre semble s’être détachée de ce fronton de pierre, illusion, ou encore l’esprit qui joue des tours ? Je ne peux le dire, encore maintenant, tout est doute et troubles. Ce dont j’arrive à me souvenir, c’est trois silhouettes qui se sont avancée lentement vers moi, puis j’ai ressenti une douleur effroyable me déchirer la mâchoire, projetée contre la façade, ma tête à heurter le dur de la pierre, puis je me suis écroulée comme une masse trop lourde pour être soulevée.
Ils auraient dû me supprimer, j’en suis plus que persuadée, mais quand je me suis réveillée, j’ai remarqué les traces gluante tirant sur le vert qu’à laisser ma plante sur l’asphalte, je me suis mise à me masser le bas du visage, tout en regardant ces innombrables traces laissée à même le sol, il y avait même des empreintes de pas, mais ma beauté verte, elle je ne la trouve plus.
J’ai mis un certain temps à remarquer que mes vêtements n’étaient plus que lambeaux, me couvrant au minimum quelques parcelles de chair intime.
Je commence à avoir froid, des bruits de ferrailles s’entrechoquent non loin, sans doute, les poubelles enragées qui se dispute un morceau de terrain, des cris aussi, les gluants probablement Je n’ai plus de force, je ressasse sans arrêt ce tableau macabre de cette scène embrumée, le temps passe, les minutes s’allongent mais ne me laisse aucun répits, étrangement l’air est devenu bien plus glaciale qu’auparavant, la nuit poursuis son chemin, mais ne laisse aucune chance à ceux qui n’ont pas la force d’avancer.
Pour couronner le tout, mes côtes me font horriblement souffrir, et même si une seule petite étincelle de rage venait à m’animer, je ne suis pas certaine que j’arriverais à me relever, attendre, et attente, à présent ou va m’amener cette nuit sans issue ?
Avec mes dernière forces, j’arrive à me traîner à peine plus loin, des décombres en carton sont architecturalement bien disposée pour accueillir une âme en souffrance, tout du moins, je me l’imagine, un dernier effort, et j’essaie de me calfeutrer aux centre de cet abri, ma jambe me tire aussi, et j’ai mille peine à la recroquevillée contre l’autre, alors, je la laisse telle quel est, et puis qui sais ? Plus tard je n’aurai peut-être plus jamais mal.
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Arabelle
Age : 45
Race : Entre le Gobelin et le Zumain
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Mar 22 Juil - 22:18 |
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A quoi s'attendre dans les rues de LoneDonne...
Et bien à tout.
Il y a des poubelles, qu'il a fallu apprendre à coup d'os à ne pas essayer de me croquer le nez.
Il y a des tartines, qui pernicieusement se glisse sous nos chausses pour nous faire glisser. Celles au beurre sont les pires, impossible de ne pas s'étaler de tout son long, et de se casser le nez. Pourquoi les tartines nous font-elles toujours tomber du mauvais côté? Mais depuis, j'ai amélioré mon jeu de jambes, et je les évite. Trop gras, le beurre, de toutes façons, non?
Quelques quidams qui courrent après quelque chose, ou qui fuient, ce n'est pas toujours bien clair.
Il y a la Mado aussi. Et sans son fameux coup de sac à main, elle pourrait presque être sympathique. Presque...
Et par-ci, par-là, il y a des corps, certains accrochés aux mains des gluants, avant de se faire digérer par les égouts. Certains encore frais, pas pour longtemps. Certains qui bougent encore...
Quoi?
Une forme vaguement zumanoïde qui se traine, dans la ruelle, là, à quelques pas. Pas l'air en bon état en tout cas. Et ça risque rapidement d'empirer. Mais pas tant que je suis plus ou moins entre elle et les tartines, bloquant l'unique accès au cul-de-sac, et montrant clairement aux bestioles locales que je n'en laisserai pas approcher une seule assez proche de moi sans que je lui assène un coup de tibia. Ou un second. Voire quatre. Tous en même temps.
Un clair de lune. Blafard.
Un coup d'oeil sur la forme qui ne se meut plus tellement.
La vision d'un bout de peau, à travers des haillons qui montrent plus qu'ils ne cachent. Et... des formes.
Tiens...
Deuxième regard.
Une chevelure rousse, longue, que j'avais pris au départ pour une partie des haillons. Clairement féminine. Clairement moins habillée encore que je ne pensais. Morte, pas morte?
Je laisserai ce genre de morceaux de chair juteux rien que pour la gourmandise aveugle des poubelles?
On ne sait jamais, hein?
Je m'approche.
Un mouvement de la poitrine. Pas encore succombé en tout cas.
Un coup d'oeil vers les quelques tartines qui s'avancent. Je mets mon os bien en évidence. Plus rien à ronger dessus les amis, à part les pissenlits par la racine, si vous approchez ne serait-ce qu'une miette de plus. Vu?
Revenons à elle.
Une petite potion que je garde toujours dans ma poche. Ça ne va pas la faire courrir un cent-mètres, mais elle sera transportable. Pourquoi je dépense une potion pour elle? Pourrait m'être utile... J'ai du nez pour ces choses-là...
Tenez, demoiselle, buvez donc cette fiole.
Toute seule dans ces coins, ce n'est pas bonne école...
Vous baladez ainsi, vous devez être folle!
Je n'ai que cette cape, prenez là comme obole.
Enfin, prêtée, hein? C'est que je suis sentimental avec ma cape moi, elle m'est comme une vieille amie. Ah oui, et puis... dans ma poche, dont je pensais tirer un mouchoir, c'est une petite culotte que je rencontre. Vestige d'une nuit passée en délicieuse mais temporaire compagnie.
Elle pourra sans doute lui être plus utile à elle qu'à moi, au moins jusqu'à lui trouver mieux.
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Sire Anno
Age : 45
Gang : Cartels de Gascogne
Race : Zumin
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Jeu 24 Juil - 18:20 |
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C’est tout gris, que se passe-t-il donc encore ? Froid, bof, je sais plus trop, mes yeux peine à s’ouvrir, pis surtout j’ai mal partout. Sacré bons sang de vert, j’en connais un qui n’a pas voulu de moi ! Je crois que je pourrais faire n’importe quoi, que ça ne changerais rien, à moins qu’une âme noble ou pas, passe dans ce coin de rue pourri, je suis sûr que ce ne sera pas bien difficile de m’achever, j’ai mal, je bouge plus, marre de ma battre pour que ce maudit cœur reparte de plus belle !
J’essaie tant bien que mal de me retourner histoire de ne pas choper les fourmis ailleurs qu’ici, pis là, pis là aussi … Même soupirer me fait mal partout, alors pourquoi je suis toujours en vie ? Hein ? Si j’avais la force je crois que je pourrais blasphémer à tue-tête, rien que pour faire sortir cette souffrance qui n’arrives pas à trouver un coin, un seul, ou se loger.
Un petit effort pour essayer d’apercevoir ce qui m’entoure, j’ai de la peine à me souvenir ou je suis, j’ai du tomber dans les choux ? Ouais Choux, quelques minutes, j’arrive à me rappeler de vagues ombres arriver nonchalamment vers ma positon, je plisse les yeux, mais même dans la nuit j’ai l’impression qu’on est en pleins jours, oh, ce doit être les réverbères …
Après quelques longues secondes d’observation, je distingue une silhouette qui s’avance, ça y est, finir le travaille ? Peut-être, de toute façon dans mon état je ne suis guère cible trop mouvante !
Mais qu’est-ce que ?!
Par le prophète Augustin, qu’est-ce donc cette ombre on dirait qu’un nez avance tout seul ?! Je crois que je suis plus touchée que ce que je veux bien me l’imaginer… Un nez, ca avance pas tout seul, non, il faut un visage pour qu’il puisse vivre, avancer humer, ouh là, je crois que je vais arrêter d’essayer de réfléchir.
La bouche pâteuse, difficile d’avancer même un mot, alors je le regarde s’approcher, je le regarde arriver, puis j’attends, mes oreilles émette un étrange bourdonnement, j’ai peine à comprendre ce qu’il essaie de me dire, il me tend une petit fiole je crois que ce n’est pas un de ceux d’avant, aucune méfiance, avec une difficulté inévitable, je me saisi de son bien, puis le porte à mes lèvres, d’une traite je descends son contenu, l’effet est rapide, quelque maux persistants au niveaux de ma mâchoire, autre part le liquide fait son devoir.
Je me redresse prudemment, avant de tenter de me mettre complètement debout, oh ! J’avais oublié ça … j’ai plus rien qui me couvre, galant homme que voilà, il me cède sa cape, d’après les yeux qu’il lance à son bout de tissus, je devine qu’il y est attaché, un peu matérialiste, c’est ça !
Hop, sur les épaules en attendant de trouver mieux.
Il me cède autre chose d’un peu plus impersonnel, du moins je l’espère … Une bonne vieille petite culotte, qui a servi à je ne sais qui et je ne sais ou, mes sourcils se arquent un tantinet, c’est mieux quoi ? De choper un rhume de culotte ou il n’y a pas de culotte ou porter une culotte déjà utilisée ? Je préfère ne pas trop y réfléchir, après tout, hum, oui, bon, je la mets !
« Merci oh, et n’ayez crainte je tacherai de vous la rendre intact votre cape, c’est bien aimable à vous, je crois effectivement qu’il n’est pas très prudent que je me balade ainsi au cœur de cette maudit ville ! »
L’effet de la mixture à vraisemblablement une autre vertu, mes pensées s’éclaircissent, et c’est alors que je me souviens à peu près de tout ce qu’il s’est passé avant que je ne sombre dans une espèce d’autre réalité.
« Saloperie de merde de couillons de putain de connaissances à mon père ! Je suis certaine que ces salopiauds le connaissaient, je n’ai pourtant pas eu la conviction que c’était bel et bien des Gobelins ! Des Zumins ? Non, pas possible … »¨
Je me remémore au même moment que je suis accompagnée par un zumin, enfin, d’après son nez, alors ? Puis-je lui livrer une partie de ma confiance ? Non, je vais rester sur mes gardes.
« Excusez-moi, ne prêtez guère attention à mes dires, elles ne vous visent pas, c’est juste que, je commence à me rappeler de ce qu’il s’est passé … avant que je ne m’effondre sur le bitume ! »
Un coup d’œil en coin, pour essayer de déceler ce qui pourrait trancher dans sa réaction, merde, il m’observe, il faut que je sois plus discrète moi ! Pour essayer de faire passer mon regard suspicieux en un regard moins ombrageux, je lui souris tout simplement, enfin comme je peux, c’est que ça fait mal !
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Arabelle
Age : 45
Race : Entre le Gobelin et le Zumain
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Jeu 24 Juil - 19:49 |
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Une reaction. Un remerciement, un chapelet d'injures, la mémoire qui lui revient.
Je laisse passer sa remarque sur les Zumins, je sais très précisément ce dont les membres de ma race sont capables, je ne m'en prive pas moi non plus, parfois...
Je garde l'oeil sur nos peu amicaux voyeurs, poubelles et tartines, pour ne pas qu'ils s'approchent.
Elle a hésité à enfiler la culotte tendue. M'étonne pas, mais c'est mieux que rien non? J'ai noté qu'en présence d'un étranger, voire simplement de quelqu'un qui n'est ni intime, ni son médecin particulier, ces demoiselles sont fort pudiques. C'est donc bien une amélioration, d'avoir un bout de tissu sur les fesses, non?
Enfin, sur les fesses...
Ca passe plutôt entre, évidemment, c'est un string. M'enfin je me comprends.
Au moins, couverte de ma cape, ça évitera qu'elle se fasse sauter dessus par tout ce qui bougera, autant les bestioles rampantes de LoneDonne, que les espèces un peu plus évoluées qui la peuplent. Enfin, ça évitera peut-être un peu quoi.
Je l'étudie. Pas l'air commode la donzelle. D'ailleurs, le simple fait qu'elle soit vivante montre beaucoup. Instinct de survie? Ressources cachées? C'est intéressant ça. Ca vaut de jeter un second coup d'oeil.
A part les jurons qui fleurissaient son language, elle a l'air éduquée, la gamine. Et il y a certains mots, certaines intonations, elle pourrait fort bien être d'une famille riche. Et il vaut toujours mieux se faire des amis riches que des pauvres, hein?
Ne vous inquiétez pas, je n'en suis pas blessé.
Mais je suis curieux de savoir ce qu'il s'est passé,
et comment des rustres ainsi vous ont laissée.
Pour vous aider, je ne pourrais en faire assez...
Si vous me permettez, d'ailleurs, je vous invite,
A sortir rapidement de ce mauvais site
Qui, je l'entends bien, fait que votre coeur palpite.
Des brigands pourraient revenir, il faut faire vite.
Au passage, il suffirait de lui trouver quelques fringues... c'est pas les cuisses à l'air, enfermée dans ma cape, et les guibolles qui vibrent encore qu'elle passera inaperçue.
Passer à la boutique, acheter une tenue, et nous retrouver à l'auberge pour discuter un peu plus.
L'auberge, c'est bien.
Il y a de l'alcool, ça délie les langues.
Il y a les ruelles sombres derrière certaines portes, pour l'y pousser si je vois que c'est plus d'emmerde que ça ne vaut.
Il y a ma chambre, à l'étage, aussi, pour la récompense de l'avoir sauvée...
Très bien l'auberge, très bien...
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Sire Anno
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Ven 25 Juil - 14:51 |
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J’ai beau retourner le problème dans tout les sens, je ne comprends pas tout à fait ce qu’il s’est passé, bon sang, ça va finir par me bouffer les méninges cette histoire, j’ai comme l’impression que ce gentil Homme à des intentions dissimulée, mais pourquoi alors aurait-il voulu me sauver la mise ? Ça en fait des questions à tourner dans tous les coins de ma tête !
Premier point plutôt positif, il a l’air robuste, ce qui me sera utile si des fois un assaillant reste dissimulé au détour d’une croisée, deuxième point plutôt positif il en veut pas à ma vie, bon, et ensuite ? Il va tout de même ne pas me chaperonner jusqu'à l’année prochaine ! Il faut que je fasse mine de ça va bien ! Je n’ai pas pour habitude de me faire protéger moi ! Mais je me l’avoue il à été plutôt d’un grand secours, quoique crever come un rat au milieu des poubelles ne m’aurait pas affecté plus que cela, beh, non la mort n’est qu’un début !
J’essaie de me détendre et de me tenir un peu plus droite, mes côtes me font pratiquement plus souffrir, et ma mâchoire commence à aller mieux. Bon, il veut savoir ce qui m’est arrivé !? Ouais je n’ai pas la tête d’une Damoiselle qui s’est faite rétamée ? Au moins je vais sortir de ce coin putride !
« C’est une sacrée putain de longue histoire, en gros, je me suis faite bernée par des Scélérats, aussi c’est de ma faute, j’suis bien trop curieuse, et ça, ça pardonne bien souvent pas ! On m’a tendu un piège, je suis obligée de le voir ainsi, comment ai-je pu être aussi stupide ! Hein ? Je vous le demande ! Tsss, je pensais avoir trouvé quelque chose de très important pour mes recherches, et bien, je me suis bien trompée, la preuve ils se sont tiré avec ma belle Nepenthes modifiée, la seule qui étais en ma possession ! »
Tout en parlant, je me laisse guider par cet inconnu, le principal c’est qu’on sorte de ce trou, alors pratiquement aveuglément je le suis, sans même rehausser mon début méfiance qui s’était installé. Je poursuis en lui demandant affablement de me déposée quelque part.
« Dites-moi, je ne vais pas encore pouvoir faire des kilomètres, vous seriez très gentil si vous me déposeriez à l’auberge, ou même à la boutique la plus proche mais … »
Oups, j’ai plus un rond, je vais faire comment moi, ok, Improvisons !
« Non oubliez ce que je viens de dire, emmenez moi ou bon vous semble, je vous redonnerai votre cape, et attendrai d’allé mieux pour allé chasser quelques Ratcroupis histoire que les biffetons fleurissent un minimum. De préférence à un endroit où il n’y a pas beaucoup de passage, et un coin plutôt dissimulé, ça m’évitera encore une mauvais rencontre. Et merci. »
Et oui, il ne va quand même pas me paterner encore de longues heures, je vais déjà beaucoup mieux quelques heures de repos, et je serai sur pied, ce qui passerais quand même bien là, c’est une bonne liqueur de verte, subtile et capable de vous arracher le gosier, mais bon, ça attendra.
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Arabelle
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Ven 25 Juil - 15:02 |
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Bien bien bien... pas facile son histoire à la donzelle...
Ce n'est pas moi qui dirait que la curiosité est un bien vilain défaut, mais faut toujours savoir assurer ses arrières dans ces cas-là tout de même. Et là, ses arrières, avec à peine un bout de tissu de string et une cape dons la valeur et la résistance sont plus sentimentales qu'autre chose, on ne peut pas dire qu'ils soient bien gardés.
J'ai dû louper un épisode en lui reluquant les arrières, d'ailleurs, parce que je ne comprends plus ce qu'elle dit, à un moment. Ses recherches? Son nez qui penche? non, j'ai pas dû bien entendre, hein?
Recherches... Elle parle comme une gobeline... Parfois, font des recherches intéressantes, les gobelins, des choses qui peuvent se revendre très cher de l'autre côté du port d'Hamster Damné, et s'il y a de l'argent à se faire...
Mais commençons par le commencement.
J'étais parti pour l'emmener à l'auberge.
On va juste s'arrêter d'abord à la boutique, sur le chemin.
Je lui fais un geste, me suivre, ne pas parler, c'est moi qui m'en occupe.
Diling, fait la petite cloche au dessus de la porte de la boutique.
Un oeil vers la vendeuse, moi entre elle et ma rescapée... Tiens, je ne sais même pas son nom, ni lui le mien d'ailleurs. Il faudra encore jauger si ça vaut le coup.
Mon coup d'oeil à la vendeuse est clair, pas de question non plus, et je ne ferai pas la fine bouche, pas de regard curieux non plus vers la demoiselle, circulez ya rien à voir.
La main sur son bras, je la tire vers le rideau, derrière lequel règne une intimité toute relative. Et c'est là que j'ai le premier coup d'oeil sur elle, dans la pleine lumière de la boutique.
Elle parlait comme une gobeline.
Elle en a le teint nom de Dieu!
Dehors, sous la pâleur de la lune, c'était invisible, mais là, difficile de passer à côté de sa peau à couleur verte... Des parents créatifs, à ce que je vois. Pas fait un mauvais boulot non plus, si on n'est pas contre le vert...
Bon, attends.
Mademoiselle, pas un mot, et permettez...
Derrière le rideau, à l'abri des regards. D'un geste vif, je reprends ma cape, la dévoilant à nouveau à ma vue. Un geste impérieux pour lui rappeler de se taire. Pas de discussion.
Normalement, là, j'aurai fait le regard qui la déshabille, mais ça vaut à peine le coup, vu ce qu'il lui reste. Un coup d'oeil à sa poitrine, à sa taille, à ses hanches, et à ses jambes. Un peu de rinçage d'oeil, mais professionnel hein!
Je reviens tout de suite, lui fais-je comprendre en ressortant de derrière le rideau. Je remets ma cape, aaaahhhhh, mieux comme ça!
La vendeuse, qui fait semblant de ne pas être curieuse. Mais oui mais oui, je vois bien ton regard par en dessous, mais j'ai pas le temps.
Je vais dans ses rayons, quadrille ses robes, en prend une, la couleur choisie. Ca devrait lui aller, c'est dans ses mensurations, pour ce que mon oeil et ma mémoire peuvent encore en juger.
Quelques pièces lâchées à côté de la vendeuse, et je reviens vers ma mi-gobeline, mi-zumaine.
Et maintenant faites vite, cette robe, mettez.
Une robe avec un corset vert. Plus qu'elle. Pour réduire un peu l'effet de sa peau, et en adoucir le teint.
Et dites moi donc un peu plus, pour que je comprenne,
De quelles recherches vous menez donc les rênes,
Et qui font que vous aillez, d'ennuis, les mains pleines.
Serait-ce la providence, qui vers moi vous mène?
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Sire Anno
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Ven 25 Juil - 21:33 |
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J’ai bien remarqué son air perplexe suite à mon aventure, non, mais c’est qu’il ne me croirait pas ! Zumain, mouais, pourtant il a rien avoir avec mon Père, même que je les pas connu, ou presque pas, c’est tout Gustus qui m’a rapporté, au fond de moi, je sais bien que mon Papa était un homme hors du commun, et ce n’est pas que les louanges qu’en à fait Gustus qui m’a fait pencher d’un côté plus que de l’autre ! Haaa, bon passons, on n’est pas là pour parler de Gustus et de ces allocutions.
Toujours est-il que cet Etranger semble un peu perdu dans mes phrases, faut le comprendre, c’est sûr, que peut-il bien connaître des plantes carnivores et de leur poison foudroyant, enfin, pour certaine.
Revenons, à notre interlocuteur, il semble savoir ou il va m’emmener, je jette un œil discret par-dessus mon épaule, j’ai comme l’impression qu’on est suivis, Par tout les verte de vert, j’espère que ce n’est que mon imagination qui travaille, parce que si les mêmes créatures arrivent on est mal barré, je saisi, je sais, il à l’air costaud le bonhomme là, mais on est jamais sur de rien. Malgré moi, j’accélère le pas, lui qui me guide, à peut-être aussi ressenti quelque chose, il prend une longueur d’avance puis me tire à sa suite.
Je vois bien qu’il n’est pas nécessaire d’en rajouter, de rajouter même une seule parole, pour le moment, c’est l’endroit qui compte, ensuite, on verra bien, je vois ça d’ici, ce bourbier monstre, je crois que l’ont est pas en sécurité ici, en plus ma seule arme vivante du moment c’est faite enlevée, ils m’ont dépouillé les autres là, j’ai rien qui pourrais me rendre utile pour me défendre au cas où …
Tiens on arrive devant une boutique me semble t-il, pas mal, une planque de quelques minutes s’il y a des gens, l’avantage, c’est qu’ils n’oseront pas s’en prendre à des innocents, remarque, si c’est bien le genre d’immondice que je pense alors, des innocents ne seront pas forcément un obstacle.
Je ne dis toujours rien, il pousse la porte de la boutique et je le suis comme son ombre, il me pousse gentiment vers une espèce de cabine
Schhllaaack
Le rideau est bien fermé pas de soucis, mais il y a un immense jour d’un côté, saleté de rideau pas capable de faire le tour de la tringle.
Permettez ? Quoi Permettez ?!
« Heu, vous êtes sûr que c’est une bonne planque ici ? »
Mes mots se termine d’un un son pratiquement inaudible, j’suis bête il ne va pas me laisser là ! Il veut m’habiller ?? Bon sang, comment je vais faire pour le rembourser moi ! Toutes mes biffetons passent dans mes recherches et dans la liqueur … Bon, bien, j’espère qu’il me prenne des trucs pas chers !
C’est une impression bizarre, il en me parle pas, et je sais ce qu’il attend plus ou moins de moi, le voilà qui ré arrive, tel une petite bourrasque de vent. Il me tend une espèce de robe, verte, bon choix, bon choix. Ni une ni deux, je l’enfile à toute vitesse, je passe mes mains, sur le tissus, c’est un reflexe les belles robes se doivent d’être toujours parfaite et droite, pas un pli, surtout quand c’est neuf.
Un petit miroir décor le mur de la cabine, je m’observe quelque secondes …
Quelle mine affreuse, et me cheveux sont vraiment dans un sale état, faudra que je passe à la rivière moi !
Hop, je me recoiffe tant bien que mal avec les mains, et enfin prête, je me retourne et sort du recoin.
« Ha, voilà qui est bien plus convenable, je vous remercie, et soyez en certain, je vous rembourserai ! ça va peut-être prendre un certain temps, mais je payerai ! »
Mes recherches.. Ha, oui, il faut certainement que je lui en parle, il se sentira peut-être plus assuré du fait que je lui parle un peu de ce que je fais.
« Je travaille avec les plantes, plus précisément avec les plantes carnivores et les plante belliqueuse, c'est-à-dire celle qui ont un poison parfois mortel, le plus dangereuse que l’on peut trouver dans ces vastes forêt.
C’est un héritage de mon père, et j’essaie d’honorer sa mémoire, je fais des teste, et mélanges les ADN, c’est un travaille bien vaste, mais qui est ma foi, très passionnant. Mon Père avait réussis à faire d’un simple Droseras, un plante mortelle, une arme destructive et douée d’une certaine intelligence, malheureusement, ses notes ont disparus, tout du moins une bonne partie, je suis à la recherche de ces écrits dont il a gardé la cache secrète, sans avoir le temps de le divulguer à Gustus, je pense alors, que certains autres Gobelins paierait cher pour avoir son manuscrit, il faut dire aussi que mon Père n’a pas hésité à tuer sa femme pour se libérer ,et ainsi me libérer … »
Je marque un temps de pause, j’ai la gorge sèche et il faut que je me rince le gosier, j’aurais encore beaucoup à dire sur ces recherches et sur ce que je fais, mais j’ai pas non plus pour habitude de déballer tout mon passé en un seul bloque, la confiance doit s’installer, qui sait, il est peut-être de leur côté aussi, cette idée est un peu grotesque, je reconnais, un Zumain, non, il ne pourrait pas travailler pour eux.
« Pardonnez-moi, mais je me demandais, si nous ne pourrions pas continuer cette discussion ailleurs, je ne suis pas tranquille là … »
Non quelque chose cloche ici, y a comme un vent glacial qui entoure la pierre … Je préfère est de loin m’en aller tout de suite, je ne veux même pas vérifier si mes impressions sont bonnes, alors, je prends la direction de la porte, et attend mon sauveur de l’autre côté.
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Arabelle
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Race : Entre le Gobelin et le Zumain
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Lun 28 Juil - 17:27 |
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Bon, au moins elle a l'air d'apprécier la frusque.
Quant à payer... mais oui, ma chère, il y a toujours à payer. Mais pas forcément dans la même monnaie. L'avenir nous le dira.
Et là elle me raconte, des histoires de salades, de famille, de dés et de haine, pas tout compris.
Quelques trucs pourtant ont fait tilt.
Poison.
Trifouiller des plantes.
Biftons.
C'est une nénette que je préférerais avoir dans le camp d'en face, si quelque chose s'oppose à mon business à Lonedonne?
Non.
Vaudrait mieux pas. Ca ça peut s'arranger facilement, si besoin.
Mais c'est qu'elle pourrait même nous être utile, au Cartel...
Voyons voyons, d'abord...
Oui, c'est bien vrai, ne nous arrêtons pas ici.
Il ne faut pas que vos poursuivants vous voient, si?
Allons donc, par la porte de derrière, ainsi,
et bientôt il n'y aura plus qu'à dire merci.
Un signe de tête à la vendeuse, elle pourra bien dire où nous sommes partis, nous seront déjà loin. Mais elle sait que je peux revenir dans son établissement, et qu'il vaudrait mieux que je ne sois pas furax, cette fois-là, hhmmm?
La porte de derrière, coup d'oeil à gauche, à droite, je fais passer la demoiselle à côté de moi, direction l'auberge. Et une chambre discrète.
Je vous avoue, ne pas avoir tout bien compris.
Mais je suis curieux de ce que vous avez appris.
Ces recherches que vous faites, j'en suis surpris,
Je n'en ai entendu ni un mot, ni un cri.
Pourtant, elles m'intéressent, comme votre personne.
J'espère que vous verrez que c'est la chance qui sonne.
J'ai une proposition, que rarement je donne.
Mais je sais apprécier un tempérament de lionne.
Vous avez besoin d'aide, et même de protection.
J'ai intérêt en vos recherches, et sans pression,
Je vous invite à rejoindre mon gang. Précision:
Peu de flânerie chez nous, mais bien des actions.
Donnant donnant.
J'assure la protection, je fournis les matières premières, et la motivation.
Continuer ses recherches, nous fournir son savoir-faire et son expérience.
Facile, et que du bon pour tout le monde.
Et puis... n'est-ce pas logique qu'une gironde fasse partie des Cartels de Gascogne?
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Sire Anno
Age : 45
Gang : Cartels de Gascogne
Race : Zumin
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Jeu 28 Aoû - 10:51 |
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Tout ces enchaînements de situations me paraisse réellement bizarre, il n’y a pas une heure j’ai fait face au trépas, et voilà que maintenant, je porte des habits dignes de je ne sais quoi, et en plus j’ai un ange gardien, je ne sais pas si vraiment je dois prendre tout ceci comme une chance ou encore comme le début d’un cauchemar qui ne cesserait de revenir au fil des heures que je vais passer ces prochains jours. Je ne me fais pas d’idée, pour sûr qu’il n’est pas tout net lui !
Et alors ? Finalement je ne suis pas toute cristalline non plus si on y regarde de plus prêt.
Les faits sont là ! Je me fais poursuivre comme une vulgaire proie depuis quelques heures, et j’en mettrais ma main à coupé que ça va pas s’arrêter tout soudain, alors, … Seule … Mes chances restent mince et sont bel et bien restreintes. Je ne veux pas donné raison à ces purs sangs, Non, Pas question !
Portée dans ces réflexions, nous nous évadons pour gagner l’auberge, un lieu où je ne peux être certaine d’être en sécurité, mais c’est toujours mieux que de rester sur les pavés.
La chambre, bien, là, c’est déjà mieux, plus discret, quoique … S’ils parviennent à sortir des murs en bêton sans soucis, et bien, je peux qu’attendre que la mort vienne me cueillir, Si seulement mon prototype ne s’était pas envolé avec les bourreaux. J’aurais au moins de quoi me laisser une petite longueur d’avance. Trêve de ronge sang, maintenant, va falloir agir au plus vite.
J’écoute un peu plus attentivement ce que cet étrange bonhomme a à me dire …
Oui, ok, d’accord … Oh, bonne offre je crois … En plus pouvoir continuer mes recherches, que du bon là !
« Cela ne m’étonne pas du tout, que vous n’ayez pas eu vent de ces recherches. Les observations qu’effectuait mon Père n’ont jamais été ébruitées, c’est toujours resté dans la proche contrée qui borde cette maudite ville. En tout cas, les Gobelins ont veillé à ce que tout ce qui se passait en leur village le reste. Pour nous, la ville c’était comme un endroit que l’on peu que touché par le rêve et l’imagination …
Enfin, une civilisation reculée pour l’époque que nous vivons … »
De quoi je voulais parler d’autre déjà ? Ha ! Oui …
« Vous avez raison, seule je vais pas y arriver ! Je ne vais pas rester sur mes acquis, je compte persévérer dans ma méthodologie pour croiser d’autre espèce, et faire d’une simple plante inoffensive, une arme de défense inébranlable. Pour ça, il faut absolument que je retrouve les écrits de mon Père, ça peu prendre du temps.. Je n’abandonnerai pas !
Je serais idiote de ne pas accepter votre offre, il va de soi, que ma vie en dépend, et j’en suis là consciente…
Très bien, marché conclu !
Au fait, Arabellle, c’est comme ça mon Nom. »
Je lui tends la main en guise d’accord, il y a de quoi faire avec les ressources qu’il me propose, sceller un pacte par une poignée de main, c’est toute la garantie de ce que je peux y offrir dans ce geste.
« Mais dites-moi, c’est quoi votre truc à vous ? Enfin, votre Gang, C’est plutôt action et justice ? Ou alors action, et sans foi ni loi ? »
Faudrait peut-être que je sache dans quel camp je me trouve …
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Arabelle
Age : 45
Race : Entre le Gobelin et le Zumain
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Jeu 28 Aoû - 12:36 |
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Sa réponse.
Quelques précisions en plus, une décision, son nom, et une question.
Je hoche la tête, elle n'est pas folle la guêpe, ou pas totalement. Et c'est bien pour ça que je l'ai repérée.
Bien sûr qu'elle ne pouvait pas continuer toute seule. Surtout avec la proposition que je lui ai faite.
Elle croit que je l'aurais laissée partir toute seule, après ce que j'ai montré, après ce qu'elle m'a dévoilé?
Du tout.
Mais il était aussi important qu'elle sente que c'était sa propre décision, base de la motivation pour travailler avec moi.
Plus qu'à confirmer tout ça...
Avec tout ça, j'en oublais de me présenter...
Sire Anno donc, et vous Arabelle, enchanté.
Je vais vous parler de qui vous allez fréquenter.
Les Cartels sont les meilleurs, sans nous vanter.
Un sourire, un clin d'oeil.
Une bande soudée, fraternelle et métisse.
Qui jamais ne traine chez les vieux, dans les hospices.
Et en cette ville à la police toute factice,
Bien sûr, nous faisons notre propre justice.
Si vous pensez pourtant à ces gangs de tueurs,
fascinés par la mort, telles mouches par la lueur,
je vous assure, nous dépensons notre sueur
pour tuer uniquement comme défenseur.
Ou alors s'il y a un bon contrat sur la tête de la cible.
Tuer pour du beurre, c'est sale, et c'est du gâchis pour le marché des nettoyeurs.
Et des gardes du corps, d'ailleurs, ce n'est que le revers de la médaille...
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Sire Anno
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Gang : Cartels de Gascogne
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Ven 12 Sep - 22:36 |
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Combien de temps cela fait-il que nous nous côtoyons ? Une bonne poignée d’heures ! Il n’a pas essayé de me tuer, donc effectivement, je crois que je peux lui faire confiance. Il est un peu marginal, mais après-tout, inoffensif pour ceux qui l’entoure. Je pense avoir conclu une très bonne affaire !
Le descriptif qu’il m’a fait de son Gang me convient, il va de sois qu’il me cache encore quelques petites choses, comme par exemple ces autres activités, je suis sûr qu’il à d’autres occupation, son regroupement de personne ne doit pas seulement être là pour faire beau, j’ai hâte de m’infiltrer dans son monde, pour connaître réellement de quoi il vit.
« Très bien, oui, très bien, le principal c’est l’honnêteté ! N’est-ce pas ? Je cris que je n’aurai nulle peine à me faire à votre train de vie, si en plus, j’ai la possibilité de continuer mes propres sinécures, alors, ce n’est que bénéfices pour moi. »
Voilà, tout a été dit pour le moment, enfin …
« Au fait, vous avez une espèce de QG, ou un endroit pour accueillir vos membres, ou alors, c’est chacun dans son coin, et dès qu’un appel est passé il faut rappliquer ? Non, je me demandais, parce que va falloir que je débarrasse mes affaires importantes de ma planque. Et un labo ? Vous avez un Labo ? »
Hum, peut-être que j’en demande trop là, faut pas non plus exagérer …
« Enfin, un petit endroit pour que je puisse continuer mes expérience. Vous savez il me faut un endroit qui soit tempérer et ou il ne fasse pas trop froid quand l’hiver arrive, sans quoi mes belles créatures périsse et à chaque fois, c’est comme si une partie de moi mourrait avec elles, faut qu’elles soient bien mes petites plantes. Oui, enfin on va trouver une solution, hein ouais ? »
J’esquisse un petit sourire, chaque fois c’est pareil, lorsque je pense à mes végétaux, c’est comme si je parlais de mes propres bébés.
J’aurais encore bien des questions à lui poser, mais tout d’abord, il faudrait que je me débarbouille un tantinet, je pue la vieille poubelle moisie, ce n’est pas l’idéal pour s’acoquiner avec une âme quelle qu’elle soit !
« Dites-moi, j’oserais me décrasser dans votre salle de bain ? Je ne suis pas trop à l’aise comme ça … Promis, je ne vais pas faire long ! Ensuite je pourrai rentrer en fonction directement, une fois mes affaires récupérée au taudis. »
Comme toute bonne personne qui se respecte, j’attends son approbation, je suis polie aussi des fois !
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Arabelle
Age : 45
Race : Entre le Gobelin et le Zumain
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Dim 14 Sep - 13:56 |
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J'ai suffisamment piqué sa curiosité, et peut-être aussi son instinct instinctif de survie, impec.
Evidemment, il y aura des choses à découvrir sur les Cartels, mais tout vient à point à qui sait attendre, n'est-ce pas? Et puis autant les découvrir de l'intérieur, quand ça ne risque pas de se retourner contre soi si on fait son boulot.
Ah oui, un labo? réfléchissons...
Outre la taverne, nous avons effectivement
un quartier général, qui sera amplement
suffisant. Une maison cachée dans les docks,
avec accès sur les égouts, tout en un bloc.
La cave, un peu humide, mais parfaite pour garder du vin à température certes fraîche, mais constante. Ca devrait lui suffire. Et l'accès direct vers les égouts permet de trimballer hommes et marchandises sans éveiller les soupçons au dessus. Hergranore était tout content d'avoir un nouveau gîte si près de chez lui...
Une bonne chose de faite, et une recrue qui pourra nous être fort
Oui, profitez-en, allez vous débarbouiller.
Quand on travaille pour moi, faut êt' prêt à se mouiller.
Gardez donc les frusques que je vous ai donnés,
Et si vous avez besoin d'autre chose, sonnez.
Il ne sera pas dit que je suis ingrat avec mes gars. Un blaze de fer dans un cache-nez de velours, qu'on m'a surnommé.
Je lui indique donc la salle de bain.
Une hésitation.
Je pourrais me rincer l'oeil, mais je l'ai déjà vue en costume d'Eve. Quant à voir ce que les métissées gobelines valent au pieu, on verra ça le moment venu. D'abord consolider les bases professionnelles...
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Sire Anno
Age : 45
Gang : Cartels de Gascogne
Race : Zumin
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Mer 17 Sep - 16:39 |
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N'ayant trouvé aucun lit à sa taille dans le repère, que dis-je repère, le palace des Cartels, le sylphelin candide s'était allongé dans le panier à linge de la salle de bain. Soudain l'agitation et les bruits d'ablution le tirèrent de son sommeil.
Jetant un coup d'œil au travers de l'osier doré il vit une forme ou plutôt des formes qui en disaient long sur l'ardeur avec laquelle sa propriétaire entretenait son corps aussi ferme que charmant.
Et ben ! j'suis pas mécontent de les avoir rejoint. Pour sûr que c'est la belle vie que celle de Gascon ! Hé petite ... Une bière je te prie et ensuite un p'tit massage ne serait pas de refus !
Se rappelant sa discussion d'hier avec le noble Sire maître des lieux, il se demanda soudain si cette beauté n'était pas l'une des leurs plutôt qu'une simple servante ...
Erf, j'espère qu'elle ne m'a pas entendu murmura t'il en s'enfonçant plus profondément dans les étoffes douces et parfumées qui lui servaient de couche.
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Astur
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Ven 19 Sep - 17:54 |
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Bon, tout est en ordre, j’ai plus qu’à … Allé me décrasser, il m’indique la salle de bain, d’un signe de la tête, je le remercie. Pis qu’il n’ait pas peur, me mouiller, ça, il ne sera pas déçus.
Allé, direction la douche, bon sang, j’avais oublié à quel point c’est affligeant de se rouler dans la boue, pour dire que les mâles de mon ancienne tribu, trouvait ça jubilant, enfin, c’est ce qu’Augustin me racontait …
Mmmhhh il fait déjà bon chaud, par ici, on pourrait même croire que quelqu’un à utilisé la baignoire il y a que quelques minutes. Mon regard se pose alors sur une vieille corbeille à linge en osier …
Dis-donc … Soit il se change six fois par jours ou alors, il y a un truc là-dedans … Ho .. Et si c’était ceux qui m’ont attaqué ? Je suis à deux doigts d’appeler le Monsieur Anno, d’ailleurs, je tourne la tête en sa direction, et soudainement, j’entends, une voix étouffée sortir de cet amas de machin chose.
QUOI ?!
« Hé, toi là-dedans, tu me cause comment ? Je ne suis pas une vulgaire chambrière qu’on sonne avec une petite cloche pour assouvir le moindre souhait ! Et sort de la tout de suite, si t’es un mâle digne de ce nom, je vais te montrer moi, ce qu’est qu’une Arabelle en pétard ! »
Non mais, pour qui il se prend ce truc ! En plus, il ne doit pas être plus haut que mes nichons ! Viens là, que je te botte les fesses ! Hé bin, si il fait parti du Gang de Sire, on n’est pas sorti, ça commence bien !
Un mouvement ? Va-t-il donc oser se montrer à moi ? Il à intérêt, je ne compte pas me laver avec un vulgaire voyeur dans les parages.
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Arabelle
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| Sujet: Re: Haut Risque ? Mar 23 Sep - 19:49 |
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A peine arrivée dans la salle de bain, j'entends une voix qui n'est pas la sienne...
Puis une gueulante, clairement de sa voix à elle.
Ca commence bien.
Je rentre dans la salle de bain, avisant alors Arabelle en train de faire des gros yeux au bac à linge.
Ya comme un bout de tête, et deux ailes qui en dépassent.
C'est signé.
Je me mets à rire...
Ha ha, je vois que vous faites déjà connaissance!
Arabelle, ne voyez donc pas ça comme une offense.
J'avais oublié un peu trop de mon bon sens,
En faisant confiance à son obéissance...
Je m'avance vers la pile, y fourre une main, chope une chaussette et un sylphelin par le collet, par la même occasion.
Et bien, Astur, tu voulais des réjouissances?
Ne crois-tu pas qu'entre nous, il faut de la décence?
J'avais bien dit personne ici en mon absence.
De te corriger, je n'ai aucune réticence.
Allez, vas-y, demande lui des excuses.
Et tu sais à quoi t'attendre si tu refuses!
me tournant alors vers Arabelle.
Une de ses grandes qualités, c'est bien la ruse...
Mais il ne faudrait pas non plus qu'il en abuse!
Un clin d'oeil taquin vers Astur...
Comment va-t-il s'en sortir?
Est-ce que finalement le courant passera entre eux deux?
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Sire Anno
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| Sujet: Re: Haut Risque ? |
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